Quand un motard chute à plus de 60 km/h, les blessures peuvent être graves, même avec des protections. C’est justement pour limiter les dégâts que les airbags moto ont été développés. Leur but ? Absorber l’impact et protéger le corps. Mais attention : mal conçus, ils peuvent parfois aggraver la situation.
⚠️ Trop gonflé = Trop dangereux
Un airbag moto fonctionne en se gonflant très rapidement pour amortir le choc. Problème : s’il se gonfle trop fort, il devient trop rigide. Résultat ? Il n’absorbe plus suffisamment l’énergie de la chute et la renvoie partiellement vers le corps du pilote.
💥 Le risque de rebond
Un airbag trop dur agit comme un mur élastique :
- Lors de l’impact, il ralentit brutalement le motard.
- Puis, au lieu de dissiper l’énergie, il la restitue… provoquant un rebond.
- Ce rebond peut relancer le pilote dans la direction opposée, ajoutant un deuxième choc au corps.
➡️ Résultat : le motard subit deux fois plus de force qu’un choc sans rebond.
🧠 Conséquences physiques
- Coup du lapin, lésions cervicales ou dorsales.
- Risques accrus de traumatisme dû à ce double impact.
- Moins de dissipation d’énergie = plus de dégâts internes.
✅ La solution : Un airbag intelligemment conçu
Pour éviter ces effets indésirables, un bon airbag doit :
- Être souple et se dégonfler progressivement (comme le système ASA Air Shock Absorber).
- Avoir une coque externe qui répartit l’impact (technologie RXR Protect avec coques PVC).
- Intégrer une mousse absorbante spéciale (comme la mousse R2O, qui évite les rebonds).
🏁 En conclusion
Un airbag ne doit pas seulement protéger, il doit aussi bien gérer l’énergie du choc. Trop rigide, il peut faire plus de mal que de bien. La solution ? Des technologies comme celles du R-Pro 2 de RXR Protect, qui allient souplesse, absorption et sécurité optimale.